mercredi 14 mars 2012

Le Combat d'une Maman pour son Enfant


Le Combat d'une Maman


http://savemichaelsolal.blogspot.co.il est dédié au combat d'une maman pour son enfant. Plus de dix années de combat afin d'obtenir de la Justice qu'elle protège un enfant contre le pire de l'humanité : violence, pédophilie, népotisme, manipulation destructrice. 

L'objectif est que Justice soit rendue 
Nos armes: Vérité, Amour, Foi, Patience 
Notre Force : Une indomptable volonté
Les obstacles: Le mal ne se repose jamais... Jusqu'à ce qu'il passe son chemin ou qu'il soit défait par la puissance de la vérité et de l'amour

"Maman ! Le Bien finit toujours par gagner. Maman ! On va gagner », l’enfant Solal Michael Georis, alors âgé de 9 ans


SaveMichaelSolal vous dévoile, jour après jour, les faits, devenus occultes, qui ont transformé un divorce plutôt banal dans l’Europe contemporaine en une affaire criminelle d’envergure internationale, dramatique, complexifiée à l’embarras et sans issue… hormis l’emprisonnement de la mère et le triomphe du père, jusqu’à ce que mort s’ensuive.

ET L’ENFANT DANS TOUT CA?


« Solal, mon enfant, est la seule raison d’être dans ce combat que je mène depuis plus de dix ans pour que Justice soit faite et que sa protection lui soit octroyée, puisque nous ne sommes pas éternels. Si ce n’était pour lui, pour lui assurer un cadre protecteur pérenne contre la violence et la perversité dont il a déjà tant souffert, je serais une femme respectable et respectée, prospère, professionnelle reconnue, remariée et maman plusieurs fois. » Ronite Bitton, la maman de Solal

« Un bref retour en arrière me parait essentiel pour comprendre pourquoi j’ai dû renoncer à tout cela et me résigner à perdre tout le reste, afin d’endurer plus de dix ans de calomnies et de ruine dans tous les sens du terme, jusqu’à la disgrâce et la prison, devenues à moyen voire à long terme, mon seul horizon.

La cohabitation avec le père de Solal, entamée en 1998, a été une épreuve cauchemardesque. Une fois devenue « sienne » par la grossesse et les liens du mariage, l’élu de mon cœur, un juriste belge d’apparence affable et politiquement correct, s’est brusquement révélé, dans le huis clos familial, être violent,  despotique, narcissique et pervers, passant ses nuits à boire de l’alcool, fumer des joints et surfer sur des sites internet de pédophilie et de violence extrême contre des femmes, lorsqu’il ne piquait pas des crises de démence que rien ne semblait pouvoir apaiser sinon la certitude que nous étions, notre enfant et moi, sous le règne de sa terreur, comme en ont témoigné nos voisins et de nombreuses tierces personnes, ainsi que mes plaintes à ce sujet.

En 2002, malgré les menaces et manipulations du père, alors que l’état de Solal s’était brutalement dégradé, que j’étais moi-même en miettes et vivais dans l’appréhension des prochaines crises voire d’un « dérapage » fatal, j’ai trouvé la force d’entamer la procédure de divorce et ai demandé protection à la justice pour mon enfant et moi contre cette violence, ce que la Justice nous a accordé : un ordre d’éviction du domicile conjugal a été prononcé contre Vincent Georis et rapidement exécuté,  notre enfant a été placé sous ma garde exclusive et une expertise psychiatrique a été ordonnée. Par la suite, la Justice belge a dû confirmer à trois reprises ces dispositions, face aux tentatives incessantes de Vincent Georis d’obtenir la garde exclusive - ou alternée, en fonction de l’interlocuteur, avec force de stratagèmes et sous divers prétextes jamais étayés. A titre d’exemple :  s’abstenir d’aller chercher l’enfant à l’école dans le cadre de son droit de visite, refuser de le faire auprès du Directeur de l’Ecole, lui demander de le confier à la mère puis tenter de déposer plainte contre elle pour enlèvement (2003). Ou encore arguer devant la Cour que la mère est atteinte d’une « névrose paranoïde délirante » et d’une maladie incurable, diagnostiquées par lui-même, une dangerosité encore accrue par le fait qu’elle ne soit ni Belge ni Catholique mais Française et Juive de surcroît, avec en sus le fait - souligné dans ses conclusions à la Cour (2003) - que « la religion juive se transmet par la mère », telle une tare familiale ou une maladie contagieuse.

SOLAL GEORIS: L'ENFANT SACRIFIE, L'OUBLIE DE LA JUSTICE

 A ce jour Solal qui n'a fait que crier son désespoir à l'idée de quitter sa maman et d'aller vivre chez son père, est introuvable, privé de son environnement familier et peut être de ses deux parents, en tout cas de sa maman qu’il n’avait jamais quittée depuis sa naissance.

 Solal Georis 14 ans, au centre d'une bataille judiciaire depuis plus de 10 ans, est aujourd'hui l'oublié de la justice. Né d'un papa belge et d'une maman française, il vivait en Israël depuis 3 ans.  A l'âge de dix ans, après avoir menacé les juges et experts de se suicider, après s'être activement engagé et battu pour que sa volonté soit respectée, Solal a été contraint à la déportation vers la Belgique. C’était en juillet 2008. Depuis lors, sa maman est sans nouvelles de lui.

Son père qui, au moment de la disparition de l’enfant était en Israël où il circulait en voiture diplomatique sans aucun contrôle aux frontières, accuse Ronite de cacher Solal et réclame contre elle une peine pouvant aller jusqu’à 20 ans de prison. Mais malgré le déploiement sans précédent de moyens pour le retrouver en Israël (police, services secrets intérieur, mossad…), il reste introuvable sur ce minuscule territoire quadrillé par les forces de l’ordre…
Depuis lors, Ronite a été incarcérée à la demande de Georis pendant deux mois, puis placée en résidence surveillée 24h sur 24 pendant deux ans puis en détention arbitraire en 2012, avec une interdiction totale de sortir du territoire… et de retrouver la trace de son enfant.

   Improbable, incompréhensible, l’affaire Solal Georis nous apprend que la justice est faite pour les plus puissants, laissant de côté un enfant qu’elle transforme en objet mobilier et exploitable à toutes fins utiles. Comme dans beaucoup de batailles juridiques, ce n'est pas la justice qui gagne, mais celui qui a les moyens de la corrompre et qui bénéficie de protections haut placées. La raison d’Etat invoquée dans cette affaire de divorce, en Belgique d’où le Palais Royal s’est fendu de quelques coups de fil à l’étranger, puis en Israël, en dit long sur les dessous des cartes.

A Suivre…